Un défi bio pour aider les familles à consommer mieux sans dépenser plus

Le défi bio pour aider les familles à consommer mieux sans dépenser plus
Une maman et sa fille cuisinent
Par Manon Laplace publié le
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Peut-on passer d’une alimentation conventionnelle à une alimentation bio sans exploser son budget ? C’est la question à laquelle essaient actuellement de répondre les dizaines de foyers engagés dans le Défi famille à Alimentation Positive (FAAP).

Jusqu’au mois de juin, plusieurs équipes composées d’une dizaine de foyers de tout type (personnes seules, couples, familles avec enfants), en Rhône-Alpes, Bretagne ou Normandie, s’unissent afin de revoir à la hausse la part de produits bio et locaux dans leur alimentation, sans pour autant dépenser plus. C'est tout l'enjeu du Défi famille à Alimentation Positive lancé en décembre.

Accompagnées par des animateurs, les familles en lice se retrouveront une fois par mois pour des animations ludiques et didactiques pour mieux comprendre et appréhender les questions alimentaires liées au bio et au local. L’occasion de visiter des fermes bio, de bénéficier des conseils de diététiciens-nutritionnistes, de cours de cuisine ou de jardinage et de trucs et astuces pour consommer mieux et durablement.

En incluant des familles de tous types et de toutes conditions sociales, le défi tend à promouvoir les modes de consommation responsables. Il permet de montrer en pratique que le bio et le local ne sont pas nécessairement réservés aux classes supérieures. Les néophytes disposent ainsi d’un accompagnement gratuit vers une meilleure alimentation.

Pour suivre l’évolution de leur consommation, les équipes renseignent en ligne leurs achats sur une période de quatorze jours, et ce à deux ou trois reprise pendant la durée du défi. En juin, les équipes gagnantes seront mises à l’honneur lors de cérémonies de récompense.

En incluant des familles de tous types et de toutes conditions sociales, le défi tend à promouvoir les modes de consommation responsables. Il permet de montrer en pratique que le bio et le local ne sont pas nécessairement réservés aux classes supérieures. Les néophytes disposent ainsi d’un accompagnement gratuit vers une meilleure alimentation.