Kaoka est une de ces entreprises qui a la bio « dans ses gènes ». Son histoire commence en effet à la fin des années 70, avec André Deberdt qui milite pour la bio, devient administrateur de Nature & Progrès dès 1980, et s’engage professionnellement en 1982 pour développer les programmes bio en région PACA. En 1988, il crée la SOPPAB (Société Provençale de Production de l’Agriculture Biologique), qui produit et transforme des fruits bio dans le Vaucluse et au Togo. Dès le début, il croit en l’avenir du réseau spécialisé bio, participe aux premières heures du réseau Biocoop, devient administrateur de Bio Convergence et est un des cofondateurs du label Bio Equitable (association Bio Partenaire), dont il sera le président pendant 10 ans. Visionnaire, passionné de voyages, il monte dès 1988 au Togo un programme de valorisation de fruits exotiques déshydratés bio.

 Il y découvre le cacao, qu’il commence aussi à travailler, pour arriver à la certification d’un des tous premiers cacao bio au monde. Malheureusement, cette première entreprise s’effondre en 1992 en raison de la situation politique locale. Mais il a pris goût au cacao et, repartant de rien, fonde alors Kaoka en 1993, se concentrant totalement, dès lors, au cacao et au chocolat. André Deberdt disparaît malheureusement en 2012, des suites du paludisme.

Les produits à la marque Kaoka ne sont cependant que la partie émergée de l’iceberg : beaucoup d’autres sociétés de la bio, pour leurs biscuits ou d’autres préparations chocolatées, utilisent aussi du cacao ou du chocolat Kaoka, et ce non seulement en France ou en Europe, mais aussi dans le monde entier, jusqu’au Japon où la notoriété de la marque est forte : « Notre chocolat est apprécié pour sa qualité, et pas seulement parce qu’il est bio. Comme fournisseur de matière première, nous sommes un acteur industriel important. Et nous travaillons également avec d’innombrables artisans pâtissiers et chocolatiers, ou encore des grands chefs ».

Ses enfants Maria et Guy, qui étaient présents dans l’entreprise depuis plusieurs années, reprennent alors le flambeau, comme l’explique Guy Deberdt, aujourd’hui Directeur Général : « La philosophie actuelle de Kaoka est la continuation directe de l’éthique personnelle de notre père. Nous continuons à cultiver ses valeurs. Les deux idées maîtresses sont d’une part de maîtriser parfaitement la filière, sans intermédiaire, et d’autre part de maîtriser aussi la qualité, jusqu’à la commercialisation. Un autre point essentiel pour nous est d’être compétitifs, avec des prix abordables pour le consommateur afin de rendre le bio accessible au plus grand nombre. C’est pour cela que nous sommes à 100% dans le chocolat bio. Cette philosophie a fait de nous une des plus grandes sociétés du secteur, et surtout la première marque française, restée fidèle aux magasins bio ».

Les produits à la marque Kaoka ne sont cependant que la partie émergée de l’iceberg : beaucoup d’autres sociétés de la bio, pour leurs biscuits ou d’autres préparations chocolatées, utilisent aussi du cacao ou du chocolat Kaoka, et ce non seulement en France ou en Europe, mais aussi dans le monde entier, jusqu’au Japon où la notoriété de la marque est forte : « Notre chocolat est apprécié pour sa qualité, et pas seulement parce qu’il est bio. Comme fournisseur de matière première, nous sommes un acteur industriel important. Et nous travaillons également avec d’innombrables artisans pâtissiers et chocolatiers, ou encore des grands chefs ».

Mais être partout pour Kaoka, cela signifie aussi cette maîtrise absolue de la filière, garante de qualité : « Nous ne nous éparpillons pas sur plusieurs petites filières, explique Guy Deberdt, investissant au contraire uniquement sur de très gros projets, ce qui nous donne notre compétitivité. Notre cacao est ainsi originaire d’Equateur, de Sao Tomé, cette île au large du Gabon, et de République Dominicaine aux Antilles. Au travers de ces filières, avec du cacao acheté à 100% en équitable (référentiel ESR Ecocert), nous faisons vivre près de 4 000 familles de producteurs ».

 

Chez Kaoka, le mot filière prend d’ailleurs tout son sens : 

« Les producteurs de cacao sont nos partenaires à 100%, nous leur achetons l’intégralité de leur production, préfinancée à 100 %, nous investissons localement dans le matériel et la technique nécessaires : caisses de fermentation, séchoirs, contrôle de la transformation post-récolte par des équipes locales, etc. 

 

En Equateur par exemple, nous avons créé une fondation qui a redynamisé la filière sur la base de coopératives existantes. A São Tomé au contraire, où la culture du cacao était en voie de disparition, nous avons tout monté : 35 associations de producteurs ont été regroupées dans une coopérative d’exportation, dans le cadre d’un partenariat public privé avec le Fonds International de Développement Agricole, une agence de l’ONU. Cette coopérative est devenue la première structure exportatrice du pays, tous produits confondus, pas seulement alimentaires ! ».

Kaoka est ainsi loin d’être un simple « trader » qui fait le commerce de cacao ou de fèves, et encore moins une entreprise faisant « juste » de la transformation. L’investissement va bien de l’amont, la production de cacao, jusqu’à la commercialisation. La présence directe, environ 150 jours par an, de Guy Deberdt et de ses collaborateurs dans les plantations en est un indice fort.

Ce faisant, avec une production de cacao qui ne tend plus vers la pénurie, cela permet de garantir des approvisionnements de qualité, et au final du chocolat accessible au plus grand nombre, conformément la philosophie historique de Kaoka. Sans parler que ce travail agronomique intense en amont garantit également un cacao de qualité : « Un bon chocolat, c’est un chocolat qui est très aromatique et surtout ‘long en bouche’, explique M. Deberdt. Un grand nombre de facteurs influent ce goût, depuis la façon de fermenter, de sécher et de torréfier les fèves en amont, jusqu’au mélange lors de la fabrication du chocolat en aval, c’est-à-dire les proportions respectives de pâte de cacao, de beurre de cacao (si présent dans la formule) et de sucre de canne. D’où l’importance de tout maîtriser de A à Z, d’être présents aussi bien aux côtés des planteurs que dans la fabrication, comme nous sommes un des seuls à le faire »...

 

Kaoka est de ce fait reconnu pour la qualité aromatique de ses chocolats, différents de ceux des autres acteurs, qu’il s’agisse des tablettes de chocolat de dégustation ou de dessert, des pépites et des palets pour la cuisine, etc. 

La marque est aussi connue pour ses prix modérés, qui ne sont nullement, on l’aura compris, le fruit de sacrifices qualitatifs ou économiques, bien au contraire : « Notre secret ? Le fait que nous nous concentrons uniquement, comme évoqué, sur de grosses filières, ce qui nous autorise des volumes plus que conséquents, en incluant bien entendu l’export et la fourniture de nos produits comme matière première aux utilisateurs artisanaux ou industriels de chocolat. Et comme dit, l’absence de tout intermédiaire, la maîtrise de toutes les étapes de A à Z, nous permet d’avoir en fin de compte un produit de qualité à des prix tout ce qu’il y a de plus raisonnables ».

KAOKA propose une gamme de chocolats de dégustation aux parfums et associations aussi gourmandes que variées. De fabrication traditionnelle française, nos chocolats bio équitable satisferont les amateurs les plus exigeants.

Tablettes dessert, palets, pépites... La gamme pâtissière KAOKA est l’atout incontournable de vos préparations culinaires aux saveurs cacaotées.

 

Retrouvez toutes les idées recettes KAOKA sur: www.chocomaniaks.fr  

KAOKA propose aux professionnels une gamme complète de chocolats de couverture  aux typicités différentes sous forme de palets, pépites, en format adapté (5kg ou 25kg).

KAOKA propose également des poudres de cacao qui apporteront d’intenses saveurs et couleurs aux crèmes, crèmes glacées, biscuits...